La crise du logement est nationale mais elle touche particulièrement notre ville. La prolifération des meublés touristiques sur l’ensemble du territoire parisien n’a fait qu’appauvrir l’offre d’appartements disponibles à la location. Face à la demande, il n’est plus possible qu’il y ait 250.000 appartements parisiens qui sont soit vides, soit des résidences secondaires soit loués comme des locations saisonnières touristiques.
Je souhaite que nous nous emparions des nouveaux outils qui viennent d’être votés au Parlement et que nous nous battions pour obtenir de nouveaux moyens de régulation. Dans une ville aussi attractive et donc aussi chère sur le prix du mètre carré, il ne peut plus y avoir autant de gaspillage de mètres carrés et d’appartements vides.
Nous devons nous battre pour taxer davantage les logements vacants et les résidences secondaires pour inciter à les remettre sur le marché de la location principale.
Crédit photo : Guillaume Bontemps/ Ville de Paris