À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, je détaille dans La Tribune nos propositions pour faire de Paris une ville toujours plus féministe.
Dans la prochaine mandature, nous ferons des familles monoparentales une priorité de notre action en leur ouvrant de nouveaux droits. Parmi eux: baisse des tarifs des crèches, des centres de loisirs et de la cantine scolaire, des musées pour faciliter l'accès à la culture, aide supplémentaire sur les transports...
Nous serons extrêmement vigilants à ce que les interventions prévues en milieu scolaire sur l'égalité femmes-hommes, en particulier dans les établissements qui dépendent de la Ville de Paris, se tiennent effectivement.
Nous poursuivrons un soutien sans faille aux associations qui œuvrent en faveur des droits des femmes, de l'égalité femmes-hommes et qui viennent en aide aux femmes en situation de précarité à Paris.
Nous travaillerons aussi, avec les associations et collectifs de familles monoparentales :
à une offre de garde temporaire,
à des lieux de rencontre et d'entraide,
à une aide aux vacances, pour permettre des « temps de répit », des moments de respiration auxquels chacune et chacun doivent avoir droit.
Nous amplifierons les politiques en faveur de l'égalité filles-garçons à l'école, comme la mise en place des cours Oasis dans les écoles parisiennes qui permettent un meilleur partage de la cour de récréation en faveur des filles, pour lutter contre les stéréotypes de genre dès le plus jeune âge, où tant se joue.
Face au réveil des conservatismes et du masculinisme, nous sommes plus déterminé.s que jamais à faire de Paris un havre de plus en plus accueillant pour toutes les femmes, quel que soit leur âge, leur condition ou leur origine, à faire de Paris une ville féministe.